Bureau du psychologue

Salle avec qu'une seule fenêtre donnant vue sur la piscine. L'espace est assez restreint, il y a trois chaise, un bureau avec un ordinateur et un énorme classeur.

Je parle a l'intention de Aoi. Un mec sexy on ne peut refuser. Pis je veut savir qui le fait le perso.

Y'en est pas question, j'En ais pas de problème moi, pi même si j'En aurait, j'Ai pas besoin d'aide.

Ayashi s'assie à son bureau et se fit une liste à faire... Mentalment biensur.
Il voulait faire le tour des classes se présenter, aller vois Mashiro, mettre une affiche sur le tableu d'affichage, nettoyer son buerau, aller se louer une chambre... C'était a peu pr`s tout. IL se leva et se dirigea vers la salle de peinture.

Ayashi entra dans son bureau et alla s'Assir a son bureau. IL revit la scène dans l'infirmerie et dans l'hopital. Il se fit un plan psychologique de l'infirmière et se dit qu'il devait approfondir. Il se fit des notes incompréhensible avec des chiffres et des lettres, pour que personne ne puisse comprendre le passer de ses patients.

Akira passa devant un bureau qui semblait vide. Elle s'aprocha.

Ya pas de mal à regarder par les portes ouverte, n'est ce pas?

Elle passa sa tête dans l'Embrasure et vit un mec qu'Elle ne connaissait pas.

- Hé, t'es qui toi?!?

Oups ça a sortit tout seul.

Ayashi releva doucement la tête.
-Ayashi Toya, je suis le nouveau psychologue de l'école.
IL serra ses feuilles.
-Et toi comment t'Appels-tu?

Akra fut surprise un moment.

- Heu.... moi c'est.... pas tes oignons.

Ouach un psy

Ayashi appuya son menton sur ses mains liés.
-Et pourquoi est-ce que toi tu devais savoir qui je suis?
Il essaya une méthode pour le faire parler.

Akira sourit.

- Parce que j'adorait venir accaparer ce bureau vide avec des jolies filles, mais dommage, tu as pris ma place. J'espère juse que les collàgiennes c'est pas ton genre...

Ayashi perdit momentanément le sourir. Il détestait parler de ça. IL se reprit toutefois et se leva pour regarder par la fenêtre.
-Vous-tu les filles comme des objets?

Il ouvrit la porte grande, puis s'accota dans le cadre de celle-ci.

Ha oui je suis un objet

- Non, mais elles me voient comme un objet!

Akira fixa le sol.

- Heureux de vous avoir rencontré.

Ayashui ne quitta pas la piscine des yeux. Son regard était froid.
-Moi de même... Monsieur.
Il fit une pause.
-Et sachez que les autre vous utiliser car vous vous voyez vous même comme un objet.
A contre coeur:
-Si vous avez besoin de parler, venez me voir.

Akira s'approcha et s'Assied.

- Admettons qeu j'aurais besoin de parler, maintenant, que me diriez vous?

Elle s'asied droitsur sa chaise et prit une voix grave.

- Vous êtes un cas désespéré mon enfant, je ne peux pas en dire moins de vous. Pour qu'un étudiant normal s'épanouisse bien, il doit être en classe et apprendre, pas flaner dans les corridor.

Elle reprit une voix normale.

- c'est ça que vous me diriez pas vrai?

Ayashi se retourna la tête basse. Puis, il la releva et regarda Akira avec un regard doux et un petit sourir.
-Non, ce ne serais pas sa que je te dirai... MAis est-ce ce que tu souhaites entendre?

Akira impregna sa voix d'un ton oliment sarcastique.

- Bien sûr, j'adore quand les gens me déprécie, c'est ce que j'aime le plus au monde je crois.

Akira sourit.

- Suis-je un cas désespéré, car je suis différent?

Ayashi s'accota sur le mur. IL savait que le jeune homme le menait en bourique, mais se concentra tout de même.
-Personne n'est un cas désespéré... Tous peuvent s'en sortir. Ils n'ont qu'à avoir de la volonté.
Il fit une pause.
-Tu es loin d'être un cas désespéré. POurquio penses-tu que tu en est un? Être différent n'a rien de drammatique.
Il le regarda.
-Veux-tu que je te donne une preuve que tu n'es pas désespéré?

-Vas-y

Elle sourit de plus belle.

-Est-ce que quelqu'un te montre qu'il t'Aprecie? Qu'il est heureux que tu sois toi, c'est a dire différent? Est-ce que tu ne fait que répunier les autres? Et toi, te sent-tu désespéré? Est-ce que manquer tes cours te rend amère? Est-ce que sa te fiaitdu mal d'être différent?

- Ah je vois, la preuve, c'était donc des question pour m'étudier.

Akira sourit. Il entreprit d'un ton affreusement poli

- Si nous étions dans un laboratoire en se moment je serait le cobaye, mais en vérité, ce que je suis en ce moment, c,est celui qui t'a engager comprends-tu? Je suis celui qui attends les preuves de ton étude, pas celui qui se fait étudier.

Je sais bien que quelqu'un m'aime...[/i]

-Ce que tu dis, n'A aucune effet sur mon paiment. Ni sur mes capacité. CA a juste des répercution sur toi. Que tu me dise que tu es un prostituer qui a commencer a te droguer apres que ton père t'a habiller en robe pour te filmer des un vidéo porno, n'augmentera pas mon salaire. Mais me parler fait que je suis payer. Et c'est un point pour vous, car je dois écouter sans juger.
-Le cobaye c'est moi.. C'est moi qui doit être assez fort pour vous comprendre.

-Ha oui, si vous le dites.

Akira sourit.

- Je ne suis donc pas un cas désespéré si ça peut vous aider.

Akira se cala sur sa chaise.

- C'est moins grave que ce que vous venez d'énumérer.

Puis elle murmura.

- mais dans le même genre.

Ayashi releva un sourcil. Jamais il n'avait penser qu'il puisse parler.
-Et sa te fait mal? Ce pk tu es différent.

Akira sourit encore.

- Bien sûr. Les gens qui prétende se foutre d'être différent mentent. C'est dans la nature humaine de vouloir d'adapter et se rapprocher des autres.

Ayashi ne savait pas trop quoi réponde... UNe foule de souvenir refesait surface et il s'assit. MAis pas d'une façon autoritaire pour faire peur au gamin. Il regarda son bureau.
-Ce que tu fait pour te rapprocher des autres est-il sufisant pour toi.. ou est-ce que tout te ronge encore?